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Je suis mais qui suis-je?

Je suis parfois utilisé pour attirer l’attention. J’interviens alors dans certains cas comme un ordre et dans d’autres comme une demande.  

 

Je suis la définition du calme et de la tranquillité. Des éléments devenus rares aujourd’hui, tant il est rare de profiter de moi.

 

Je suis un mot, mais je peux aussi être appelé par un geste. Un mouvement connu de tous, simple et particulièrement limpide. 

 

Je suis, dans le domaine musical, un paradoxe artistique, un arrêt créant un contraste, voire du suspense.

 

Je suis un concept qui ne peut être absolu. Car même dans un environnement adapté, je suis rompu par votre propre existence.

 

Je suis la source d’inquiétude lorsque je surviens. Un signal de danger activé par différentes parties du corps.

 

Je suis, à l’oral, comparable à un signe de ponctuation pour marquer une phrase ou accentuer des propos.

 

Je suis une manière de taire une situation, de maintenir le statu quo, de préserver un secret. Je suis alors une censure ou encore une omerta.

 

Je suis gênant ou alors bienfaisant. Une obligation ou invitation. Mais alors… qui suis-je ?

 

À gagner :

Un guide « 22 itinéraires autour du polar en Europe à ne pas manquer » de Marc Voltenauer et Benjamin Amiguet (lire article en pages 24 et 25)

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Délai de réponse : 30 novembre 2025

Réponse du mois précédent : Papillon (piéride de la rave)

 

Point Chablais