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Je suis mais qui suis-je?

Je suis une forme d’abréviation commune à beaucoup de termes, notamment dans la langue française. Je contribue à la formation de néologismes, de nouveaux mots donc, ou j’en transforme d’autres comme c’est le cas de l’apéro.

 

Je suis disparue, perdue, supprimée volontairement, principalement à l’oral ou dans les dialogues écrits afin de les rendre réalistes. Mais ce n’est pas la cata, il s’agit simplement d’un type de langage plus ou moins récent.

 

Je suis prise en flag, considérée parfois comme un jargon de djeuns, bien que je sois employée de tous et à de nombreuses occasions. Parfois, je sers même à brouiller des pistes ou à éveiller le sens de l’interprétation des lecteurs ou des auditeurs.

 

Je suis une version moderne de certains mots oubliés. Qui parle de vélocipède ou de métropolitain ? Mais je ne me trouve pas que dans les moyens de locomotion, prenez le cas du stylographe ou encore de la vidéophonie !

 

Je suis le contraire de l’emploi du terme « car » pour mentionner un autocar, ou encore « burger » pour parler d’un hamburger. Cet antonyme se réfère aussi à une abréviation, mais située à un autre niveau ; il amorce alors que je conclus.

 

Je suis au ciné, dans les cours de gym, à la radio, dans le dico… Et je ne suis pas une hallu, montez simplement dans la loco avec moi, ou dans ma Benz comme dirait mon antonyme en ajoutant pour conclure qu’il n’y a aucun blème à m’utiliser.

À gagner :

Deux entrées pour la pièce « 3 femmes » jouée par Sylvie Delalande, Véronique Joris et Bénédicte L’allemand : à l’Aula de la Tuilerie à St-Maurice en avril, à l’Odéon à Villeneuve en mai ou au P’tit Théâtre de la Vièze à Monthey en juin (lire article paru sur notre site internet

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Délai de réponse : 31 mars 2024

Réponse du mois précédent : Va-comme-je-te-pousse

 

Point Chablais